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le 13 Feb, 2017

Le groupe RENOIR est au SLAC!

Photo de groupe du meeting SLAC en février 2017

Le Large Synoptic Survey Telescope (LSST) est une collaboration internationale impliquant notamment les Etats-Unis, la France et le Chili. La France apporte une grande contribution via huit laboratoires de l’IN2P3.

Afin de faciliter les discussions entre les différents acteurs de la science et de la technique, des rencontres sont régulièrement organisées. Ainsi, du 13 au 17 février 2017, une rencontre a eu lieu au Centre de l’accélérateur linéaire de Stanford (SLAC).
Le premier jour était consacré notamment aux nouveaux arrivants au sein de la collaboration DESC (Dark Energy Science Collaboration) afin d’aborder de manière pédagogique différents sujets de recherche actuels avec le LSST tels que, la place du Machine Learning dans le cadre de LSST ou encore la cosmologie avec les lentilles gravitationnelles fortes...

Les trois jours suivants ont été organisés en plusieurs sessions parallèles au cours desquelles ont lieu des présentations et des échanges sur différentes thématiques (Supernovae, Photo-z, les grandes structures, l’étalonnage...) dont le but est de mettre en avant les avancées au sein de chaque groupe. Enfin la dernière journée (appelée « Hack day») a pour objectif la réalisation en quelques heures de différents projets organisés en plusieurs groupes. Chacun est alors libre d’apporter sa participation au groupe de travail auquel il souhaite contribuer.

Trois personnes du CPPM ont participé à cette semaine de collaboration : Dominique Fouchez, Fabrice Feistein et Johanna Pasquet. Fabrice Feinstein a présenté les premiers résultats concernant la mise au point d’un outil de simulation à partir d’un algorithme ubercal. L’algorithme Ubercal utilise les recouvrement entre les observations photométriques en ajustant simultanément les paramètres de l’étalonnage (transparence atmosphérique...) et les flux d’objets stellaires. Le but du développement de cet outil est entre autres d’étudier l’impact des stratégies d’observation sur la précision photométrique.

Ces rencontres sont très fructueuses car elles permettent de présenter l’état du travail réalisé au sein de chaque groupe, et elles favorisent les discussions et la mise en place de futures collaborations.